Camille BRANA, consultante, coach en développement personnel et hypnothérapeute
à La Réunion depuis plus de 15 ans.
13/11/2021
Lorsque nous sommes dans le cheminement du deuil, il est impératif d’accueillir chaque émotion sans la juger. L’accueillir, c’est lui laisser pleinement sa place, en conscience, sans vouloir la renier, la contrôler ou lui donner un sens. Si tu la ressens ici et maintenant c’est que cette émotion doit être. Mais pourquoi laisser nos émotions négatives et toxiques aller et venir ? Pour quelle raison leur permettre de nous traverser ? La réponse est simple : pour s’en libérer !
Pour pouvoir se libérer de ses émotions qui rongent, leur permettre de s’en aller, il est primordial de les extérioriser. Que ce soit à l’oral, auprès d’un proche, ou à l’écrit, les notifier te permettra d’identifier chacune d’entre elles. Il est important que tu t’autorises à te confier auprès d’une personne à l’écoute, ou si tu le préfères, peut-être pourrais-tu tenir un journal qui suivrait chaque jour l’évolution de tes ressentis. Cet exercice t’aidera à passer chaque étape de ton deuil, de manière construite et consciente, et t’inscrira automatiquement de manière positive dans ce processus, à ton rythme.
3 - Se faire aider ou accompagner dès que le besoin s’en fait sentir
Lorsque nous devons faire face à la perte d’un proche, dès lors que nous sentons qu’il devient impératif de dire au revoir ou bien adieu à une personne, ou encore à une situation toxique, accepter de se faire aider si besoin est une grande force. Cela sous-entend que l’on est résolument prêt(e) à accomplir cette dure tâche et déterminé(e) à envisager tous les moyens positifs vers ce changement.
Partager autant que possible cette douloureuse et inconfortable épreuve te permettra de comprendre et d’entendre toutes les options qui peuvent s’offrir à toi. Car non il n’existe pas UNE seule solution, pas UNE seule possibilité pour modifier son état, son humeur, sa vision, ses émotions, sa vie. Il en existe pléthore et à l’infini !
Que ce soit auprès d’une personne de ton entourage, ou d’un(e) professionnel(le), te faire aider et accompagner c’est faire preuve d’humilité, c’est aussi et surtout, accepter l’étendue des possibles pour enfin tourner la page et en écrire une nouvelle.
En matière de deuil, comme pour à peu près tout, il n’existe pas de règle. Peut-être que tu vas sauter des étapes, avancer, revenir en arrière ; certaines d’entre elles te paraîtront plus difficiles à franchir que d’autres ; accepte chacune d’elles avec bienveillance. Sois fier(e) du chemin emprunté, aussi difficile soit-il. Donne-toi du temps, sois patient(e), accueille tes failles, tes faiblesses, tes forces. Oui, rien n’est acquis, accepte-le ! Lutter ne te fera dépenser que de l’énergie inutilement.
Non, il n’y a pas de modèle parfait, ni de délai règlementaire pour laisser partir quelqu’un ou pour stopper une situation qui ne te convient plus.
Tu sais, parfois, faire le deuil d’une relation peut te permettre de la retrouver d’une façon plus saine. Faire le deuil c’est finalement accepter ce qui est, le formaliser, puis le laisser partir, pour enclencher quelque chose de nouveau.
Ne l’as-tu jamais observé ? Lorsqu’une situation bloque, ou stagne, ou qu’elle t’insupporte, n’as-tu jamais expérimenté le lâcher prise ? Le coeur lourd parfois, je te l’accorde. Laisser s’en aller un projet que tu croyais profondément pour toi, se résigner à tirer un trait dessus ……et tout à coup la magie s’opère, elle s’invite sur ton chemin, car tu te rends compte qu’en fait, ce que tu reçois dépasse et de loin, toutes tes espérances.
Dans le cas de la perte d’un proche, faire face à son absence, savoir lui dire au-revoir, aussi durement soit-il, te permettra de te rappeler ô combien sa présence a été un cadeau, un apprentissage dans ta vie, et surtout te dire que c’était SON chemin, son moment à elle de partir et que cette personne est enfin libérée. Et ainsi toi, pouvoir être dans la gratitude.
Tu t’en doutes, mais je me dois de te parler de ce point important, faire son deuil de manière profonde et durable suscite d’être dans le moment présent. N’envisage pas cela comme une montagne à gravir, n’essaie pas d’estimer la distance, mets un pied devant l’autre et avance. Pas à pas, un jour après l’autre. Donne-toi le temps ! À chaque jour suffit sa joie.
Tu n’es pas en train de performer tu es en train de te dépasser, et donc, forcément en train d’apprendre. Laisse-toi tout le temps et toutes les étapes qu’il te faudra.
Tu l’as compris, le deuil ne se gère pas, il se vit en pleine conscience sans lutter, ni avoir le contrôle. Plus tu chercheras à le contrôler moins tu seras dans le moment présent et plus tu seras dans le jugement. La seule manière de le surmonter définitivement est d’accepter chaque étape avec bienveillance, en te laissant traverser sans jugement. Savoir reconnaître le moindre pas en avant, en pratiquant le lâcher prise comme rigueur suprême, en se donnant les moyens de se faire aider ou accompagner si besoin. Alors, je te le dis comme une promesse, une fois ce deuil dépassé, tu atteindras la paix, ou au moins le calme intérieur, la fierté du chemin parcouru, la gratitude d’avoir eu cette expérience à affronter qui t’a rendu(e) indéniablement plus fort(e).
Si actuellement tu dois affronter ce processus de deuil, et que tu te sens prêt(e) au renouveau, et si tu en ressens le besoin, je serais heureuse de t’accompagner vers ce changement.
Je te souhaite beaucoup de courage et t’envoie tout l’amour dont tu as besoin et que tu mérites pour gagner ce combat entre toi et toi.
Mes pensées t’accompagnent.
15/10/2021
Avant de poursuivre, il convient d’abord de différencier l’humilité de la modestie fréquemment et injustement confondues. Pour vous aider à comprendre, je vous invite à lire cet article de psychologies qui reprend la notion du psychiatre et philosophe anglais Neel Burton que je rejoins assez : « La modestie joue souvent à l’humilité, mais, au contraire de l’humilité, elle est extérieure et en surface, plutôt qu’intérieure et profonde. Au mieux, elle est de l’ordre des bonnes manières. Ce qui fait d’ailleurs qu’une personne intérieurement humble peut parfois paraître arrogante dans sa façon de s’exprimer. »
Pour l’expliquer simplement, l’humilité c’est s’apprécier profondément à sa juste valeur et avec bienveillance, en ayant conscience de ses insuffisances et de ses faiblesses, en reconnaissant ses limites. Être humble sous-entend donc la conscience de ses propres qualités, de celles des autres et savoir en tirer partie. L’estime de soi n’est d’ailleurs pas du tout incompatible avec l’humilité, bien au contraire puisque il s’agit là d’être en paix et juste avec soi-même et les autres.
La modestie est en revanche une dépréciation de soi-même, une qualité un peu fausse qui n’a de sens que si elle existe par rapport à l’autre. Vous l’avez donc compris, cet article traitera d’humilité et non de modestie.
Lorsque nous analysons les relations dans un cadre professionnel, quelle que soit la fonction que vous occupez, que vous soyez responsable d’une équipe ou sous la responsabilité hiérarchique, être humble est une vertu incontournable. L’humilité n’envisage plus seulement le « Je » mais intègre le « Nous ».
Pas assez valorisée dans le milieu professionnel, cette qualité doit aller systématiquement de pair avec un bon management car elle apporte trois éléments essentiels, trois fondements indispensables selon moi pour favoriser un travail collaboratif efficace. Les voici :
- Savoir s’entourer
Un bon manager n’a rien à prouver, il a confiance en ses capacités, ses qualités, ses compétences, et c’est parce qu’il n’est pas doté d’un orgueil mal placé, qu’il sait également reconnaître ses limites. Il sait faire confiance et déléguer. Son humilité lui permet une conscience des autres, de leurs qualités, de leurs savoirs-faire et ainsi réunir une équipe équilibrée et complémentaire qui laisse sa place à chacun de ses collaborateurs.
Une équipe efficace où chacun trouve sa place, où chacun est valorisé et où donc personne n’a besoin d’empiéter sur l’autre.
- Favoriser les échanges et la collaboration
Un collaborateur ainsi apprécié à sa juste valeur peut être pleinement en confiance et disponible pour participer, proposer, interagir, et être réceptif aux autres de manière active. Un bon manager mesure l’importance des échanges et de la collaboration pour obtenir le résultat escompté.
- Valoriser le travail de chacun et reconnaître la réussite collective
Pour un responsable d’équipe, avoir conscience de chaque individu dans un travail collaboratif n’est pas choses facile et c’est pourtant primordiale si l’on veut atteindre ses objectifs. Lorsqu’un manager fait preuve d’humilité, il sait valoriser le travail de chacun, ne pas s’attribuer seul le mérite et reconnaître la réussite collective.
Si vous managez une équipe, vous savez désormais ce qu’il vous reste à faire ! Cultivez votre humilité, prenez ainsi conscience de vos valeurs, de vos limites et de celles de vos collaborateurs pour constituer une team durable et efficace.
Être humble pour garder des relations saines
Saviez-vous que l’humilité est primordiale dans n’importe quelle relation ? La plupart d’entre vous n’en avez pas conscience et pourtant, être humble implique que chaque relation est un échange, un partage, un apport à soi et à l’autre. Que ce soit en couple, en amitié et même en tant que parent, admettre ses limites est une preuve d’amour, de bienveillance, de confiance en soi et en l’autre. Savoir que nous sommes tous uniques, que nous pouvons tous nous enrichir justement de nos différences, et que nous sommes tous complémentaires, voilà l’une des plus belles qualités pour entretenir des relations dans l’amour, la paix, et la bienveillance.
En couple, faire preuve d’humilité c’est avoir conscience que pour « danser ensemble », chacun doit prendre sa place, chacun doit exister avec ses qualités, ses limites et dans la complémentarité. N’est-ce pas l’une des plus belles preuves d’amour ?
J’espère que vous l’avez compris, l’humilité est une qualité indispensable pour le bon équilibre de votre couple, dans votre rapport aux autres, aussi bien dans votre vie personnelle que professionnelle.
Cette grande vertu régit la nature de votre être et de votre comportement et c’est pour cette raison qu’elle façonne vos relations.
Je vous invite donc à savoir l’observer chez l’autre et à la cultiver chez vous. Prenez enfin pleinement conscience de vos valeurs, de vos limites, et des personnes qui vous entourent. En acceptant ainsi que vous avez des « failles », vous convenez avec humilité que nul n’est parfait, et vous vous montrerez systématiquement plus patient(e) et bienveillant(e), car sans jugement.
Je vous souhaite de trouver votre équilibre, en étant juste avec vous-même, juste avec les autres, et je vous souhaite de savoir vous entourer de tous ces êtres dont vous êtes complémentaires pour briller autant que vous le méritez, avec votre propre lumière.
Mes pensées vous accompagnent.
11/09/2021
Lorsque vous souffrez de culpabilité, lorsque vous êtes dans l’embarras, que vous ressentez de la honte, dès lors que vous avez des remords ou des regrets, que vous avez l’impression d’avoir commis une faute, vous entachez votre estime de vous-même. Le saviez-vous ?
Saviez-vous que lorsque vous vous laissez envahir par toutes ces pensées, vous laissez place au jugement à votre encontre ? Oui culpabiliser c’est vous juger tout simplement.
Il est important de savoir que l’estime de soi se construit. Plus vous lui envoyez des messages positifs, plus votre estime croît. Mais le contraire est aussi malheureusement vérifiable. Se sentir coupable bloque l’estime de soi. C’est un fait. C’est pourquoi il est temps d’arrêter !
Vous l’avez probablement remarqué, la culpabilité entraîne toujours un déferlement de sentiments connexes. En effet, se sentir coupable nous amène inévitablement à ressentir de la colère, envers nous-même ; de la peur de soi, de l’autre, de la frustration, de la tristesse,…tout autant de freins qui vous empêchent d’être pleinement heureux(se), épanoui(e), dans des relations saines et sereines.
Pourquoi vous infligez-vous cela ? Pensez-vous que vous méritez cette posture envers vous-même ? Quand vous vous blâmez encore et encore pour tout et n’importe quoi, vous savez bien qu’au fond de vous, cela ressemble à un tsunami dans votre tête et dans votre corps.
Cela n’aide ni vous, ni la personne pour laquelle vous vous sentez coupable, ni la situation qui vous dérange. Vous culpabiliser ne vous aidera pas à vous rendre meilleur(e), bien au contraire.
Vous êtes-vous déjà demandé d’où venaient ces pensées toxiques ?
Avez-vous déjà imaginé qu’elles puissent n’être que des jugements à l’encontre de vous-même ? Que cela se passe uniquement entre vous et vous ? Et si finalement vous les envisagiez comme des interprétations de ce que vous croyez être ou ne pas être. Être bien ou mal. Mais selon quelles règles ? Selon qui ou quoi ce serait bien ou mal ?
Toutes ces questions qui se baladent dans votre tête sont là parce que VOUS l’avez décidé, et parce que VOUS avez décidé de vous incriminer. Peu importe qu’une personne de votre entourage vous reproche de l’avoir blessé, vous fasse remarquer vos maladresses, d’en avoir trop fait ou pas assez, ce qui importe c’est votre intention. Ce qui importe c’est CE QUE VOUS faites de ce que vous entendez. La manière dont vous le prenez : en reproche ? Certainement, si déjà vous êtes dans un manque de confiance en vous, si vous êtes dans l’auto-jugement, si vous avez l’habitude de vous dévaloriser. Cette remarque viendra juste appuyer là où ça fait mal, et c’est comme si vous aviez de l’eau à votre moulin, comme de faits exprès. Et la plupart du temps, comme la culpabilité fait partie de la famille de la colère : devinez quoi ? Eh oui…………et le petit vélo se met en place dans votre mental.
À contrario, si vous décidiez de vous dire que l’autre a le droit de penser, de dire ou de ressentir ce qu’il veut, parce que c’est son choix et non le vôtre, vous pourriez rester un peu plus dans votre cœur et vous demander simplement : qu’ai-je besoin de comprendre d’avoir attiré cette situation là maintenant ? Ainsi, vous éviteriez l’engrenage du petit vélo.
Pour vous y aider, voici un petit exercice : lorsque vous vous sentez coupable, notez toutes les pensées qui vous tourmentent et demandez-vous quelle était votre intention première ? En second lieu, ai-je fait tout mon possible avec mon cœur ?
Et enfin comment être, faire, ou avoir pour inverser la vapeur entre moi et moi ?
La bonne nouvelle est qu’il n’est jamais trop tard pour rectifier, améliorer, changer les choses.
Pour terminer cet exercice, rappelez-vous que nous sommes tous des femmes et des hommes, ni parfaits, ni infaillibles, que nous faisons ce que nous pouvons, avec ce que nous avons. Puis laissez toutes ces pensées s’en aller, en mettant en place de suite la méthode ho’oponopono (je t’aime, je suis désolé(e), pardonne-moi stp, merci).. pour celles et ceux qui connaissent le répéter en conscience et en boucle à votre enfant intérieur pendant 2 minutes. Pour les autres, je vous invite grandement à prendre connaissance de cette méthode bien expliquée sur YouTube.
Lorsque je reçois des personnes en coaching, la culpabilité est très présente. Je dirais même que c’est une thématique abordée dans la majorité de mes consultations. La question que l’on me pose alors, c’est comment se libérer de ce sentiment si nocif et récurrent ? Ma réponse est directe : si votre volonté est d’en finir définitivement avec ce sentiment de culpabilité, vous devez faire le choix et décider d’être dans votre assertivité c’est-à-dire dans l’affirmation de soi, la confiance en soi, l’estime de soi donc dans l’amour de soi.
Être dans son coeur donc, ce n’est pas accepter toutes les injustices, ce n’est pas non plus dire amen à tout ce qui vous dérange et cautionner tout et n’importe quoi. Être dans son cœur, c’est pouvoir reconnaître d’avoir pu être blessé ou blesser quelqu’un à son tour, le comprendre, l’accepter et se pardonner. Vous êtes sur terre pour apprendre, pour expérimenter, pour grandir, pour tomber, et pour vous relever. Vous rappeler ainsi, que vous n’êtes pas parfaits, personne ne l’est, et qu’à partir d’aujourd’hui, vous serez conscient de faire tout votre possible avec votre coeur.
Soyez également dans le moment présent. Dès lors que vous considérez que tout ce que vous faites ou dites n’est qu’amour, ici et maintenant, vous serez automatiquement dans une énergie haute et dans une vibration d’amour, alors vous ne vous sentirez plus coupable.
Je vous souhaite de tout cœur, de vouloir vivre enfin votre vie pleinement et en conscience.
Je vous souhaite d’avoir envie d’arrêter de vous juger inutilement.
Je vous souhaite de vous défaire de ces principes nocifs, de ces pensées limitantes, de ces émotions et sentiments toxiques qui faussent tout et qui font tant de mal… Et c’est ainsi que, délesté(e) de tout cela, vos conditions de vie vous paraîtront plus douces, plus calmes, plus joyeuses.
13/08/2021
Simple, logique me direz-vous… et pourtant… combien de relations sont-elles devenues toxiques à cause de non-dits, d’incompréhensions, de disputes non désamorcées ? Ce sujet précis a d’ailleurs fait l’objet d’un précédent article que je vous invite à lire.
Alors qu’est-ce qu’une bonne communication dans un couple ?
La première des choses, c’est être à l’écoute, en ayant pleinement conscience de l’autre. Cela sous-entend donc de prendre en considération son partenaire, ses besoins, ses envies. De prendre en compte ce qu’exprime la personne qui partage votre quotidien. Soyez conscient d’avoir attiré cette personne là sur votre route, et félicitez vous d’avoir à vivre certaines expériences à ses côtés. cette rencontre est tout, sauf un hasard………
C’est aussi parler avec délicatesse, bienveillance, gratitude, et toujours sans jugement. S’exprimer de manière sincère et authentique, en exposant également clairement ses besoins, ses envies, ses ressentis.
Pour vous y aider, je vous invite à lire cet article sur la Communication Non Violente (CNV) sur psychologies.
Une bonne communication c’est enfin de la gentillesse, de la tendresse, des marques d’attention et d’affection… des aspects qui doivent toujours subsister dans un couple car ils démontrent à l’autre ce que l’on éprouve. Cela entretient une mécanique, un cercle vertueux d’amour.
Pour exemple, un homme et une femme ayant des enfants doivent toujours bien différencier leurs rôles de papa et de maman de leurs rôles de femme et d’homme. C’est ainsi qu’ils préservent leur amour, qu’ils entretiennent la flamme, en faisant preuve de respect envers l’autre, d’attention, de gentillesse, et de tendresse.
Avoir confiance en l’autre… vaste sujet qui parait « aller de soi » pour certains, IMPOSSIBLE chez d’autres. Cela est d’ailleurs souvent lié à son histoire personnelle. Ce que je peux vous assurer c’est que c’est la meilleure preuve d’amour et de respect que vous pouvez offrir à votre partenaire. Cela implique plusieurs éléments indispensables, comme avoir confiance en soi, s’aimer soi, avoir foi en l’autre, et surtout accepter que chacun ait son jardin secret. Oui, vous avez bien lu, le respect, la confiance c’est aussi être OK avec le fait que nous ne sommes pas obligés de tout se dire et de tout entendre. Chacun dans le couple, peut avoir envie de vivre des moments même anodins, et le garder pour soi. Pourquoi parler de certaines vérités sans valeurs ajoutées, donc gratuites, qui n’apporteraient finalement que des désagréments ? Cela ne serait plus de l’amour, mais cela relèverait du contrôle sur l’autre. Et le seul infime intérêt que nous pourrions en tirer c’est un soulagement de sa conscience. Alors dans ce cas, posez-vous la question : est-ce vraiment nécessaire et utile de tout dire ?
Difficile à intégrer pour certains ou certaines d’entre vous, mais je vous l’assure, même en couple, nous sommes chacun et chacune une entité, bien distincte. Il est impératif de savoir se préserver et préserver l’autre, l’objectif ici, étant de protéger la relation d’amour.
Cette notion de « non-attente » renvoie plus généralement à ce que ressentent les parents pour leurs enfants. Ces derniers n’ont pas besoin d’être comme ceci ou comme cela, de faire ci ou ça pour que leurs parents les aiment. Ils les aiment, infiniment, tendrement, un point c’est tout. Qu’importe ce qu’ils font, ou ne font pas, peu importe leurs choix,… leurs parents les aiment inconditionnellement.
Être dans la non-attente c’est aussi et surtout le fait de ne pas attendre de l’autre pour être heureux. Oui, deux êtres peuvent s’accomplir pleinement ensemble que lorsqu’ils s’accomplissent déjà individuellement.
Être en couple avec la bonne personne, et de la bonne façon, est un plus à ce que nous sommes déjà. Cela doit être un cadeau, un plus à notre bonheur, deux vies complètes et épanouies qui se lient. Non pas pour combler des manques, mais pour partager ensemble des instants de bonheur, de joie, de tendresse, etc.
En voilà une règle importante ! Attention cependant, car bien sûr nous ne parlons pas ici de quelque chose que nous devrions diviser à part égale, du temps ou que sais-je…mais bien dans le sens de « vivre avec ». Dans un couple, le fait de partager ensemble et pleinement chaque instant de grâce, de complicité, des moments de joies, de bonheur, et même de tristesse est essentiel. Combien de couples se perdent peu à peu ? Combien de partenaires de vie ne rient plus ensemble, ne s’embrassent plus ? Ne se parlent plus ? il suffit quelquefois de regarder autour de soi, certains couples au restaurant. Ils mangent et ne se regardent même pas. Alors, de là à dialoguer !!!!!! Comme c’est triste de vivre ça. À ce stade, la responsabilité de chacun est en cause bien évidemment. Pourquoi ? Comment est-ce possible ?
Tout cela car ils n’ont pas su entretenir la mécanique dont je parlais plus haut, offrir à l’autre de l’attention, de la tendresse, de l’affection, du respect, de l’écoute. Savoir surprendre, savoir étonner, savoir sortir de la routine, essayer de casser le train-train quotidien. S’accorder des moments pleinement ensemble et les savourer. C’est cela le partage.
Je ne vous apprends rien ici, juste un petit rappel très important : nourrir des projets en commun est un des grands principes d’un couple qui s’aime et qui dure. Car bien évidemment, au fil des années, c’est une preuve d’amour que l’on se fait mutuellement. Cela veut dire que nous souhaitons toujours avancer ensemble, et dans la même direction.
Envisager des projets à deux, c’est avoir foi en son couple, c’est montrer naturellement et simplement, son envie de continuer de vivre avec l’autre. Et bien sûr avoir des projets en commun signifie que nous sommes sur la même longueur d’ondes.
Peut-être qu’actuellement vous êtes à un tournant important dans votre couple. Peut-être aussi que vous traversez une impasse, ou que vous avez du mal à trouver un chemin commun, ou encore que vous êtes remplis de doutes quant à l’avenir de vous deux.
Que vous soyez installé(e) avec votre partenaire depuis plusieurs années ou que vous débutiez une relation, il est temps de poser des fondations solides et de vous offrir le plus beau des cadeaux : l’amour pur, l’amour juste, l’amour sans réserve.
Je vous le souhaite infiniment. Toutes mes pensées vous accompagnent, et ce, à chaque étape de votre vie.
07/07/2021
Il convient avant tout de définir chacun des mots employés car, ainsi, cela vous aidera à comprendre très vite les aspects essentiels de ce qu’est une relation toxique.
Une relation est un ensemble des rapports et des liens existants entre personnes qui se rencontrent, se fréquentent, communiquent entre elles.
Se dit toxique : un produit ou substance nocifs pour l’organisme.
Nous entendons donc par relation toxique : des liens existants entre personnes, et qui seraient nocifs pour leur santé.
Cette définition propose d’emblée un angle de vue différent de ce que vous lisez généralement sur ce sujet. Oui, une relation toxique serait le fait d’une seule personne, sur une autre personne ? Attention à ne pas juger trop hâtivement, ce n’est en réalité pas aussi simple !
Il s’agit d’une relation.
Cela sous-entend donc deux choses : d’une part, la responsabilité de chaque personne dans cette relation. Et d’autre part, que cela peut être nocif pour chacune des deux personnes impliquées dans cette relation. J’ajouterais également que, deux êtres peuvent tout à fait être nocifs l’un pour l’autre, mais pas forcément individuellement.
Quoiqu’il en soit, à l’avenir, pensez toujours à ceci : ce que l’autre m’impose, m’inflige,…n’est ni plus, ni moins, que ce que JE l’autorise à m’imposer, à m’infliger… Il s’agit là de s’interroger sur votre confiance en vous et sur votre assertivité bien évidemment, pour que vous puissiez assumer votre part de responsabilité dans cette expérience, et pour pouvoir ensuite vous en libérer.
Je souhaite vous le dire, c’est en vérité assez simple à déterminer : dès lors qu’une relation vous provoque régulièrement des émotions négatives, donc nuisibles, vous êtes dans une relation toxique. Cela peut être ponctuel, cela peut durer depuis plusieurs années…Toujours est-il, que si cela provoque chez vous des tensions, des malaises, du stress, de la contrariété, de la culpabilité, de la colère, de la tristesse, un mal-être, des sensations d’oppression, comme d’étouffement … alors je vous l’assure, vous êtes en train de vivre une expérience nocive à votre organisme ; nécessaire certes, et j’y reviendrai, mais néfaste pour votre santé.
Cela commence en général par des doutes, puis très vite vers une baisse de confiance en soi, voire une perte totale de l’estime de soi ; et puis ensuite ce ne sera que de l’escalade. Les prises de décisions contre soi, pour « faire plaisir à l’autre » ou « ne pas froisser », et plus nous irons contre soi, plus l’autre prendra de la puissance… à ce stade, je pense que chacun a compris le processus mis en place, c’est ce qu’on appelle l’engrenage.
J’en conviens, sous l’emprise de l’autre, quelle qu’elle soit, il est difficile de s’apercevoir que ce que nous vivons n’est ni bon pour soi, ni bon pour l’autre, et que cela doit stopper. Bien souvent, un regard extérieur pourrait être d’une aide précieuse. Mais soyez à l’écoute de vous-même. Si vous sentez que cela ne va pas, alors c’est qu’il est grand temps de changer de situation !
Et autant qu’il est possible de créer un cercle vicieux, il est possible d’en créer un vertueux.
Je ne le répèterais jamais assez, mais la qualité et la durée de l’expérience dépendent uniquement de votre capacité à comprendre et à accepter les raisons pour lesquelles vous vivez cette situation. Il arrive que les relations changent, ou qu’elles s’arrêtent, mais quoiqu’il en soit, il est important de vous le signifier : vivre une relation toxique n’est pas une fatalité. Il est tout à fait possible que, si vous décidez d’être en congruence avec qui vous êtes, d’être aligné et que l’autre personne soit en miroir avec vous, alors oui, cette relation peut progressivement s’améliorer et changer. Alors UNIQUEMENT Si, et seulement si, chaque personne est prête à passer le cap vers l’amour de soi.
Ainsi, être dans l’amour de soi est d’abord, je vous le rappelle, un travail individuel à faire au quotidien, qui demande rigueur et discipline afin d’aligner ses pensées, ses actes, et ses paroles, avec son coeur.
Dans un deuxième temps, il est primordiale également, de questionner votre lien à l’autre, et de réaliser un exercice de détachement (tel que celui des bonshommes allumettes) qui vous permettra d’apaiser vos relations.
Lorsque nous vivons dans une relation familiale, amicale, amoureuse, de travail…toxique, il est si facile d’incriminer l’autre. C’est l’autre le responsable de mon mal-être, c’est elle ou lui la cause de mes problèmes. Certes, mais vous le savez aussi, rien n’arrive par hasard ! Si cette personne est sur votre chemin, si vous vivez cela, ici et maintenant, alors posez-vous les bonnes questions ! Listez les comportements qui vous déplaisent chez l’autre, et demandez-vous ce qu’il y a à travailler chez vous-même ? Lister les paroles ou actes de l’autre qui vous rendent mal et demandez-vous : Pourquoi est-ce que je vis cela ? Quelle est ma part de responsabilité dans ce rapport à l’autre, nocif pour moi ? Pour quelle(s) raison(s) est-ce que je vis cela encore et encore ? N’y a-t-il pas des choses à changer sur ma perception de moi-même ? Rappelez-vous qu’avant de pouvoir changer les choses à l’extérieur, vous devez commencer par changer ce qui a en vous, car ce que je vis à l’extérieur de moi, est en forte résonance avec qui je suis.
Vous l’avez compris, pour créer des relations saines et harmonieuses, il faut être impérativement dans l’amour de soi (cf mon article du 12/06/2021). Rejeter, repousser tout ce qui n’est pas aligné à son Moi profond, c’est-à-dire à son cœur.
Une relation doit être un « bonheur » de plus que l’on s’offre à soi. Bien sûr des conflits anodins peuvent exister, il est d’ailleurs important de savoir comment les éviter ou les désamorcer. Nous n’avons pas forcément à être d’accord, mais nous pouvons tout à fait être en désaccord tout en restant dans « le non-jugement ». Pour soi, et pour l’autre, nous nous devons de ne pas entretenir une relation toxique. Pour cela, chacun et chacune à sa part de responsabilité, envers soi, et envers l’autre.
Je vous souhaite à toutes et à tous de trouver la paix donc l’amour dans chacune de vos relations, pour pouvoir ensuite la chérir si vous ne la connaissez pas déjà. Et j’envoie à celles et ceux qui en ont besoin, toute la force et le courage de changer la nature de toutes les relations qui ne vous apportent pas (ou plus) de joie, d’amour et d’apaisement.
Toutes mes pensées et mon amour vous accompagnent.
11/06/2021
Vous vous demandez peut-être si l'estime de soi et l'amour de soi sont une seule et même chose ? Et qu'en est-il de la confiance en soi ? Je vous répondrais que, l'estime de soi concerne plus vos valeurs, vos qualités, vos atouts et de ce fait, primordiale pour arriver à l'amour de soi ;
La confiance en soi, c'est croire en ses capacités, son potentiel, c'est connaître ses forces et ses faiblesses. Croire en soi, avoir foi en soi, donne la possibilité de s’affirmer et d’identifier ses faiblesses pour pouvoir y travailler ou pour mieux les contourner.
Quand vous avez confiance en vous, vous êtes dans une énergie positive qui fait que vous atteignez facilement vos objectifs. Le regard des autres vous importe peu. Vous savez que vous avez des droits et des devoirs.
Attention : Trop de confiance en soi, peut se transformer en freins : arrogance, prétention, être sûr de soi, vous savez ces personnes qui pensent et qui croient qu'elles savent ou qu'elles font toujours mieux que les autres tout le temps...cela devient un manque d'humilité.
Quant à l'amour de soi, si vous vous aimez, vous comprenez que chaque expérience que vous vivez est bienveillante pour vous, afin de vous faire évoluer, grandir, et guérir.
Aucune transformation ne peut se déclencher, aucune guérison n'est envisageable, sans l'amour de soi. Il est essentiel d'admettre que vous n'avez pas que des devoirs, mais bien des droits aussi. Le droit d'être réellement qui vous êtes vraiment, sans détours. Vous avez le droit parfois de vous tromper, ou de dire des choses quelquefois blessantes, malgré vous, sans pour autant vous jeter la pierre en vous culpabilisant ou en ayant honte. Vous aimer, c'est vous pardonner.
Vous pardonner c'est vous accepter ; vous accepter c'est reconnaître aussi ce que vous n'êtes pas : un être humain parfait.
Alors, la bonne nouvelle est que, tout est possible, si vous le décidez ! C'est votre décision! Cela ne dépend que de vous ! Vous devez vous apprécier pour vous accepter afin d'être dans l'amour de soi. Vous devez changer votre regard sur vous en priorité. Ceci est absolument essentiel. Choisissez de changer vos pensées. Approuvez-vous !!! Et vous serez surpris du résultat.
Dès votre réveil, le matin, commencez par être dans la gratitude, en remerciant l'Univers pour la nuit passée, et remplissez-vous de joie en vous disant que votre journée va être magnifique, puisqu'elle va être extraordinaire, puisque vous méritez le meilleur.
Ensuite et surtout, vivez le plus possible dans l'instant présent et poursuivez les étapes qui suivent.
Prenez une feuille de papier et faites deux colonnes avec, en titre, dans la première : « Les raisons pour lesquelles je ne m'aime pas » et, dans la deuxième : « Les raisons pour lesquelles je pourrai m'aimer : qualités, valeurs, atouts, capacités ».
Théoriquement, vous devez avoir noté plus de choses dans votre deuxième colonne, et à partir de maintenant, je vous demande de vous concentrer sur tout le positif qui est en vous et que vous avez pris soin de noter. Il est urgent de vous focaliser sur tout ce qui concerne le merveilleux en vous, sur ce que votre entourage pourrait penser de vous, sur ce que, vous, vous pensez de vous et de croire à tout cela au plus profond de vous.
Ainsi, vous prenez conscience du fait que penser et ressentir sont les deux éléments essentiels d'une vibration, d'une fréquence. Votre objectif, est d'installer cette nouvelle énergie chez vous, dans un premier temps. Vous devez vous en imprégner encore et encore. Le but de cette opération, qui n’est pas des moindres, c'est d'y croire. Avoir la foi. Ici, il n'est pas question de foi religieuse, bien entendu, mais d'avoir foi en la vie, foi en vous, de croire en vous.
À partir du moment où vous vous êtes installé(e) dans votre nouvelle énergie, vous posez votre attention sur vous, et vous prenez conscience de votre intention sur ce changement que vous allez mettre en place. Votre volonté que tout soit comme vous voulez, est primordiale, essentielle. Ainsi, toute une discipline sera nécessaire.
Tout d'abord, assurez-vous, chaque jour, d'être qui vous êtes, en ayant la "bouche propre", le "parler juste", la "pensée positive". Ce qui signifie : pratiquer le respect de soi, travailler sur l'affirmation de soi, développer la confiance en soi, appliquer l'estime de soi.
Tout ceci aura pour but de vous conduire à reprendre complètement votre pouvoir sur vous-même et votre existence, en ayant la volonté de redresser la barre. Tous les éléments qui composent votre existence retrouveront leur place automatiquement, et en très peu de temps. Ce qui est exclu : le verbe (parole) sale, pensées négatives, le jugement, la dévalorisation, la culpabilité, l'agressivité verbale, la violence autoritaire, etc.
En deuxième point, comme vous savez qui vous êtes et ce que vous valez vraiment, il vous sera très facile et tout naturel de rester à votre place en vous disant : "je ne suis responsable que de moi, pas de la terre entière". Chaque personne est responsable de ses paroles, de ses actes, et de ses choix. Il vous sera très facile et très naturel de rester à votre place, en permettant à l'autre d'être qui il est aussi, sans le juger. Ici donc ni projection, ni conflit, ni doute, ni tiraillement, ni désaccord. Chaque personne est, et vit dans la bienveillance, accepte l'autre dans son entièreté et sa complétude. Car nous vivons chacun dans un monde différent, avec nos propres codes, nos propres filtres, et tous les mondes se valent. Pourquoi y en aurait-il un mieux que les autres ?
Ici, je parle de mondes d'adultes responsables, cela va de soi.
Le troisième point, concerne le temps et vous, plus précisément vos pensées. Je développe :
Puisque vous êtes toujours au bon moment, au bon endroit, dans votre belle énergie, pourquoi laisser vos pensées vagabonder dans le futur ? Pourquoi, quand quelque chose vous échappe, vous mettez-vous à tirer des plans sur la comète en faisant des hypothèses ? Non.
Vous devez toujours être dans l'ici et maintenant. Vous devez être persuadé que tout va bien se passer, que tout ira pour le mieux, faire confiance en la vie, et le ressentir. Et de toute façon, quand bien même il se passerait un imprévu, vous le savez, les choses n'arrivant pas par hasard, vous seriez en train de comprendre quelque chose, pour pouvoir accepter cette chose, afin de grandir ou d'évoluer. In fine, tout va donc très bien, et tout est toujours parfait. Arrêtez de penser pour les autres. Arrêtez de vouloir tout contrôler. Et surtout arrêtez de juger. Stoppez les doutes !
Comme vous l'aurez compris, il s'agit ici, aussi et toujours, de communication avec soi-même, et les autres. Cette communication doit être claire, juste, respectueuse et honnête envers soi d'abord, et envers les autres ensuite. Arrivé(e) à ce stade, il sera simple pour vous de vivre en faisant des actions justes, bienveillantes, avec joie, pas trop, ni trop peu, comme il convient. Il ne sera question que de partages, de choix volontaires, de bonheur et d'Amour.
Vous ressentirez la joie d'être qui vous devez être à tous moments, et vous saurez que vous faites avec votre cœur chaque jour. À cet instant, vous aurez l'impression d'être en totale harmonie avec ce qui vous entoure. Vous commencerez à vous sentir plus léger, votre foi en la vie va se mettre à grandir, votre confiance en vous se fera sentir, vous serez plus joyeux, pour celles et ceux qui se trouvent un peu trop enrobés(es) (ici, je me permets de le noter, car cela a été mon cas), vont se rendre compte que, sans régime, leur silhouette s'affine tout naturellement, et évidemment vous baignerez dans un mieux être, énergétiquement, physiquement, moralement, et intellectuellement. Votre entourage vous le fera remarquer, sans trop comprendre ce qu'il se passe.
Très vite, l’Univers fera en sorte d'éloigner les énergies et personnes négatives, de manière naturelle, afin de vous éviter d'être pollué. Et ceci, vous l'aurez sans doute compris, en application tout simplement de sa superbe loi de l'attraction des semblables (« qui se ressemblent, s'assemblent »).
Dès que vous changez d'énergie ou de vibrations (pensées + émotions), c'est-à-dire que, dès que vous passez du négatif au positif, tout votre environnement, ainsi que le rapport que vous entretenez avec l'Univers, changent immédiatement. Tout à coup, votre vie de tous les jours, devient magique. Et ce qui devient extraordinaire, en étant dans cet état de félicité, c'est que vous vous sentez centré, aligné, alors, arrivent en grand nombre sur votre chemin, les synchronicités (les heureux hasards, les coïncidences), qui se multiplient de plus en plus.
Pour créer justement cette existence de félicité, pour créer qui vous êtes vraiment, c'est-à-dire cette Âme parfaite, vous devez savoir que « vous êtes qui vous êtes ». Ainsi, en dépassant vos craintes, vos doutes, vos incertitudes, en prenant la responsabilité de qui vous êtes, en travaillant sur vos blessures, pour vaincre vos peurs, votre culpabilité, vos émotions négatives, en vous disant que vous avez toujours le choix et en l'expérimentant, en laissant toute la place à cette petite voix tout au fond de vous, votre intuition, oui, à ce moment là, je vous le dis, c'est la seule raison pour laquelle vous êtes ici.
Voilà pourquoi, coïncidence ou pas, cet article est sous vos yeux et que vous êtes en train de le lire. Alors, rien que pour cela, si vous pouviez juste vous remercier, remercier la Vie. Premier petit pas…
Certains d’entre vous sont arrivés aujourd'hui à un carrefour de leur vie, où la fatigue de nager à contre-courant se fait sentir ; où se rendre compte que toujours donner sans jamais recevoir est épuisant, qu’ils sont toujours présents pour les autres, mais toujours seuls dans le besoin ; ou encore qu’ils n'ont que des questions sans réponse.
Alors, peut-être que, pour une fois, vous pouvez poser vos valises, décider de lâcher prise ; vous autoriser à penser un peu à vous, en vous permettant d'être qui vous êtes vraiment…
En vous disant, que vous n'avez rien à perdre, que vous n’avez rien à prouver ni à vous, ni à autrui mais, que vous avez juste, pour l'instant, besoin d'y croire ; croire en vous ; croire que c'est possible ; possible de mettre à la poubelle vos croyances limitantes ; possible d'abandonner certaines habitudes qui vous encombrent et qui vous freinent, ; possible d'arrêter de développer toutes sortes de maladies ; possible de prendre enfin votre part de responsabilité dans tout ce qui vous dérange ; possible d’arrêter d’être dans le jugement ; possible d'arrêter d’essayer de tout contrôler ; possible de dire non sans culpabilité, ni honte ; possible de mettre tout cela en place, juste en prenant la décision de travailler sur vos blessures.
Vouloir vraiment vivre VOTRE vie que VOUS VOULEZ. C'est votre choix. C'est votre décision. Elle vous appartient. Vous devez décider avec votre cœur et non avec votre ego.
Reprenez votre pouvoir. Celui du cœur.
C’est tout ce que je vous souhaite du plus profond de mon être.
Toutes mes pensées vous accompagnent.