Camille BRANA, consultante, coach en développement personnel et hypnothérapeute

à La Réunion depuis plus de 15 ans. 

Bonjour à vous tous,

Petits êtres de lumière qui s’ignorent pour la plupart, des petites âmes qui suivent avec attention mon enseignement.

Et avant tout, recevez toute ma gratitude pour l’intérêt que vous portez à cette instruction dont l’objectif est de vous nourrir un peu plus à chaque lecture, afin de vous permettre de répondre à certaines de vos questions.

Soyez certains que chaque mot choisi dans un texte que vous recevez est rempli d’amour avec pour seul objectif de vous permettre d’évoluer à votre propre rythme, si telle est votre volonté. 

Ceci est ma vérité. Vous avez la vôtre. Et votre âme la connaît. 
Aujourd’hui, j’aimerais vous donner une information : si vous ressentez le désir de partager cet enseignement avec votre entourage, qu’il soit familial, amical ou professionnel, suivez votre intuition, je ne peux que vous y encourager.

Juste en respectant le texte sans le couper, et en y indiquant la source. 
Mes pensées vous accompagnent. 
Soyez dans la lumière.

Camille

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Nous créons seconde après seconde notre propre réalité, par la vibration, ou l’énergie que nous émettons. 
Alors, faisons le choix de porter notre attention sur le fait de vouloir comprendre qui nous sommes vraiment, en essayant de l’honorer et de le démontrer. Par exemple en pensant toujours que nous créons sur 3 niveaux : pensées, paroles et actions.
Ainsi, nous pourrions savourer notre Liberté dans la joie, la paix et l’amour. 

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Quand nous comprenons que nous créons notre quotidien par la vibration de notre énergie propre, nous faisons le nécessaire pour qu’elle soit en résonance avec qui sommes vraiment, (notre moi divin), afin de pouvoir l’ajuster si besoin, avec celle de notre environnement. 
L’objectif de tout cela : arrêter de juger en essayant de tirer vers le haut chaque petite Âme qui croise notre chemin. 

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Chaque situation ou chaque personne que nous rencontrons, donc que nous attirons dans notre réalité, a sa raison d’être, même si nous ne la comprenons pas toujours sur le moment.

L’impatience bloque la manifestation des pensées. Pourquoi ?
Parce que l’impatience entraîne l’attente et l’attente entraîne des vibrations de manque.
L’impatience engendre de la frustration donc de la colère. 
L’impatience engendre aussi de la peur. 
Nous en sommes tous à peu près conscients, mais elle ressemble tellement à une ombre, qu’elle nous colle à la peau de manière insidieuse, nous incitant à faire le choix de nous focaliser pour la déloger. 

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Quand nous nous trouvons dans l’incompréhension de notre expérience, le piège dans lequel nous tombons souvent, pour ne pas dire toujours, est de juger cette situation de « négatif ». 
Du coup, ce jugement bloque immédiatement notre intention ou volonté de comprendre avec notre cœur ce qui se passe réellement. Alors que ce verbe « comprendre » est nécessaire et utile à notre évolution. 

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Nous devons avoir la volonté de choisir ce que nous désirons voir arriver sur notre chemin. (Pensées Paroles et Actes) = (personnes et comportements). 

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Nous sommes responsables de ce que nous véhiculons.
Quand nous sommes confrontés à des ragots ou à des médisances de la part de personnes ignorantes, croire que nous devons par amitié les partager est une grosse erreur. Une maladresse.
Déjà Parce que Les paroles ont une vibration et de plus, comme elles ont été prononcées avec une intention de nuire, elles sont toxiques même pour la personne qui reçoit ce « partage » qui n’est absolument pas un cadeau, et se trouve en même temps prise au piège de cette énergie basse. 

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Nous créons nos propres maladies à cause d’une incommunicabilité entre nous et nous, c’est à dire entre notre mental et notre cœur.

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Si nous choisissons de lâcher prise avec le comment et le quand, nous nous ouvrons à la connexion de notre divinité intérieure, nous offrant plus de place aux synchronicités de la vie. Et tout à coup s’envolent le stress, la peur ou la tristesse.

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Nous avons toutes les solutions en nous : quand nous rencontrons une difficulté sur notre route qu’elle soit sentimentale, familiale, émotionnelle, physique ou financière être convaincue que la solution arrive, permet au lâcher prise de s’installer et favoriser l’ouverture nécessaire à la FOI.
Ainsi, comme une évidence notre regard se dirigera dans la direction qui nous convient. 

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Ainsi, plus nous respirons, sentons et sommes tournés vers « solutions », moins nous attirons les « problèmes ». 

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Si nous comparons la vie à une pièce de théâtre, Nous pouvons en déduire qu’il y a 4 verbes importants : 
Parler - Écouter - Donner - Recevoir
Maintenant, pour atteindre notre objectif sur terre, nous devons :
Comprendre  - Accepter - Grandir - Évoluer

Quand nous nous sentons oppressés, tourmentés, fatigués émotionnellement, décider de laisser couler ses larmes sans jugement, sans essayer de les retenir, est profondément libérateur.
Un seul lien ici est utile : Les larmes sont purificatrices.

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Lorsque pendant toute une vie nous avons ressenti des émotions à hautes doses telles que la peur, la colère, la tristesse, la trahison, l’humiliation, le rejet ou l’injustice (pour ne citer que quelques-unes), et qu’elles ont été refoulées tout au fond de nous en les ignorant, il arrive un moment où nos cellules sont tellement engorgées de ces émotions, que la maladie apparaît. 
Signe alors pour que nous puissions enfin changer de comportement entre nous et nous, et ensuite entre nous et l’extérieur. 
Un travail sur soi est alors indispensable pour que l’énergie puisse à nouveau circuler, que les cellules puissent communiquer entre elles et véhiculer de la lumière à travers tout notre corps. 

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La gratitude s’impose quand nous sommes sur un chemin que nous voulons « spirituel ». 
Un merci ou un sourire sont les premiers outils que nous pouvons choisir et décider d’appliquer plusieurs fois par jour dans notre quotidien. 
Pensons que pour recevoir, il faut d’abord donner. 
Ceci nous concerne tous.
Il est vrai que certaines personnes ont plus de facilités que d’autres avec la gratitude.
Alors, interrogeons-nous et entraînons-nous chaque jour à dire et à offrir au moins 10 mercis et 10 sourires. 
Ainsi, en ce qui me concerne, je vous remercie de prendre un peu de votre temps pour me lire. Vous êtes tous, chacun d’entre vous, un cadeau pour moi, car grâce à vous, je peux être qui je suis. 

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Chez les humains l’ego qui se trouve dans le mental est tellement présent, qu’il nous empêche d’accéder à d’autres réalités. 
Et si nous pouvions le faire taire juste un peu ??? 
Avec une bonne dose de volonté, sortir de son mental pour être dans son cœur, de temps en temps, afin de se libérer de son ego, est une expérience extraordinaire et à la portée de chacun d’entre nous. 
Alors comment faire, comment passer de l’un à l’autre ?
Quand vous vous trouvez dans votre mental, celui-là même qui nourrit votre ego, vous êtes avec vos pensées, vos jugements, vos blessures, vos émotions (la peur, la colère, la tristesse etc...). 
Quand vous êtes dans votre cœur, vous ressentez des états d’être tels que la paix, la joie ou l’amour, et vous êtes dans le moment présent. 
Donc une seule solution : travailler à développer son estime de soi. Elle est essentielle pour pouvoir lâcher et se libérer de l’emprise de l’ego. Ainsi, se reconnecter avec soi-même, avec ses propres valeurs, développer votre complétude vous permettra de passer de votre mental à votre cœur.

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Nous ne sommes pas responsables de ce que peut ressentir l’autre. 
Pour autant, nous devons faire attention aux mots employés dans une conversation. 
Car lorsque nous confondons observation et évaluation notre interlocuteur peut entendre un jugement ou une critique de notre part. 
Exemple : dire qu’une personne travaille trop est une évaluation. Il serait plus juste de dire que cette personne travaille 12h par jour. 

Nous ne devons pas nous identifier par rapport à nos émotions. 
Par exemple ne pas dire : je suis triste ou Je suis en colère.
Mais dire : j’ai de la tristesse en moi ou j’ai de la colère en moi.

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Une communication bienveillante avec notre interlocuteur, a plusieurs intérêts. Le premier, est que celui-ci soit dans la meilleure écoute possible et le deuxième, qu’il évite de se culpabiliser ou qu’il se sente jugé. 
Donc, quand nous avons une remarque à faire, nous pourrions nous exprimer en relatant les faits et uniquement les faits accompagnés d’un sentiment.
Par ex ne pas dire : je n’aime pas que tu sortes le soir car je me sens seul(e) où abandonné(e) ou ignoré(e) ou délaissé(e).
Mais dire : quand tu sors le soir je me sens triste ou agacé(e) ou désemparé(e) ou de mauvaise humeur.
En fait, s’exprimer clairement avec les mots justes qui décrivent nos ressentis, peut enclencher chez l’autre la discussion et une prise de conscience immédiate et compatissante. 
Ce qui aura pour effet de nous rassurer puisque notre remarque aura eu toute son attention. 
Savoir écouter de manière juste, c’est donner de l’amour.

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Ce que j’admire chez l’autre, c’est ce que je dois développer chez moi. 
Ce que je déteste chez l’autre c’est ce que je dois travailler chez moi.
En résumé, tout ce qui attire mon attention à l’extérieur, est en lien avec qui je suis au plus profond de moi. 

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Le jugement nous éloigne de nos valeurs, de nos besoins. 
Aussi, c’est parce qu’une personne se sous-estime, qu’elle va se juger en permanence, et donc à fortiori, juger son environnement.
Or, prendre conscience de ses vrais besoins et valeurs nous réconcilie avec nous-mêmes. 
Ainsi, notre regard sur nous peut être bienveillant et juste. 
C’est un des chemins qui mènent à l’amour de soi. 

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Quand nous avons le privilège de pouvoir recevoir un enseignement bienveillant, qui nous est offert avec beaucoup d’amour, émanant d’une personne digne de confiance, nous pourrions faire le choix de garder cet enseignement précieusement, afin d’avoir la possibilité d’y revenir encore et encore, avec pour objectif d’apprendre pour comprendre, grandir et évoluer.

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Nous sommes la première personne à nous maltraiter de diverses manières (irrespect, culpabilité, manque de confiance en soi, manque d’estime de soi, déni....)à cause de nos blessures et de croyances limitantes. Ainsi, nous pensons à tort, avoir besoin d’être puni inconsciemment et cela depuis l’enfance. 
Alors, très souvent, nous nous trouvons en difficultés en ce qui concerne notre communication ou nos relations familiales, sentimentales, amicales ou professionnelles. 
Si nous voulons essayer de changer cela, peut être pouvons-nous commencer dans un premier temps, à nous remettre en question ? À nous dire que des solutions existent et essayer d’avoir un regard différent sur ce qui est ? par exemple, en nous questionnant : et si cela venait de moi ? Puisque c’est sur ma route, c’est obligatoirement moi qui l’aie attiré ? Que dois-je comprendre ? L ’accepter et choisir de prendre conscience de notre entière implication dans ce que nous avons créé. 
Ce qui est certain, c’est de savoir définitivement que tout ce que nous rencontrons donc que nous attirons sur notre route est de notre entière et unique responsabilité. 
Il s’agirait là de faire une ouverture à l’intérieur de nous, entre notre mental et notre cœur, pour avoir un regard différent et trouver un sens à ce que nous vivons. Aussi, nous sortirions de cet enfer émotionnel, afin d’être guidé dans ce chemin qui nous mènerait à notre cœur. 

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Quand nous sommes dans notre mental, c’est à dire dans notre ego, nous ne pouvons être que dans nos blessures donc dans le jugement. Alors, même si notre interlocuteur se trouve dans La meilleure intention possible, en choisissant chaque mot qu’il prononce pour nous faire évoluer, tout ce qu’il pourra dire, sera mal interprété par nous, car nos blessures vont être touchées, nous nous sentirons offensés et nous réagirons à tort, de façon personnelle. 
Or, avec un peu de recul et sans jugement, connaissant notre interlocuteur, nous pouvons nous demander, est-ce possible qu’il soit mal intentionné à notre égard ??? La réponse étant clairement négative, nous éviterions un conflit interne en choisissant de ne pas appuyer sur nos blessures.

Quel intérêt pour nous de choisir et de décider d’être dans notre cœur, alors que nous pouvons continuer à rester dans notre mental ?
La question est essentielle donc nécessaire pour grandir et évoluer. 
Être dans le mental, pour nous, c’est la facilité. Nous avons l’habitude. Nous sommes constamment en contact avec nos émotions qui appartiennent au petit enfant qui se trouve à l’intérieur de nous. Nous connaissons par cœur ce que nous vivons tous les jours, par rapport à nos blessures. Et ce n’est pas simple, parce que douloureux. 
En revanche, quand nous sommes dans notre cœur nous sommes dans des états d’être tels que : la paix - la joie - ou l’amour. 
Et rien ni personne ne peut venir ternir la vibration de cette énergie si extraordinaire. 
Alors, terminé les blessures, les doutes, les questions sans réponse, les émotions basses, (colère, peur, tristesse, etc...), les bagarres, les reproches, les violences verbales, les suppositions, ainsi que les jugements. 
Être dans son cœur, c’est être dans l’amour, mais entendons-nous bien, pas l’amour sentiments teintés de blessures, mais l’amour inconditionnel, l’amour vibrationnel, l’amour qui vient de la Source, l’amour du soleil. Être dans son cœur, c’est être dans l’énergie christique, c’est à dire être dans la lumière. Être dans son cœur, c’est ressentir au lieu de penser, c’est comprendre mais, de manière universelle, avec son Âme, au lieu de pardonner. 
Ici, le pardon n’a plus sa raison d’être, car la notion de faute ou d’erreur n’existe plus. 
C’est une dimension dans laquelle chaque chose, chaque situation où chaque personne est à sa place dans une évidence implacable, avec respect, partage, bienveillance et donc dans la paix, la joie ou l’amour. 

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Très souvent, nous sommes obligés de constater malgré nous, que nous avons encore perdu notre self-control face à l’autre, ou dans le langage plus courant « que nous avons encore pété un câble ». 
L’adulte que nous sommes alors, n’arrive pas à gérer ses émotions et dans le meilleur des cas, une fois l’orage passé, ne comprend pas. Et la plupart du temps, regrette pour certains, de s’être emporté, reconnaît avoir « été à côté de la plaque » et se demande pourquoi il n’a pas pu se maîtriser, une fois de plus.....il est triste et dépité. Jusqu’à la prochaine crise.....
Ce qu’il faut savoir c’est que nos émotions sont reliées à notre petit enfant intérieur. 
Donc, plus ce petit à l’intérieur de nous a vécu dans l’insécurité affective, a manqué de reconnaissance, a manqué de confiance, a manqué de joie, ou d’insouciance, plus l’adulte que nous sommes aujourd’hui, ressentira de gros malaises, sera beaucoup dans l’orgueil, aura d’énormes difficultés à se maîtriser, se créera des maladies, et donc sera freiné dans sa vie de tous les jours continuellement. 
La bonne nouvelle c’est que nous pouvons remédier à tous ces manques en nous, en instaurant un dialogue chaque jour avec notre petit enfant Intérieur : lui redonner amour et confiance. 
Commençons d’abord par lui demander pardon à ce petit enfant, car jusque-là nous ignorions sa présence en nous. Lui dire que nous comprenons aujourd’hui qu’il a besoin d’être nourrit d’amour, de bienveillance et d’attention de notre part. Lui dire qu’il a le droit d’être juste heureux pour qu’il puisse faire confiance en l’adulte que nous sommes devenus. 
Lui dire que nous avons besoin qu’il soit joyeux et heureux pour que nous, adulte, nous le soyons aussi. Que nous l’aimons de tout notre cœur, et que plus jamais il ne se sentira seul. Que l’adulte que nous sommes s’engage, maintenant, à gérer seul ses soucis pendant que lui, reste dans son insouciance et sa joie. La connexion est enfin rétablie. 
Immédiatement après que le lien soit posé et notre engagement tenu, comme par magie, nous nous sentons apaisés et assistons à un début de liberté !!!!!

Quand je me sens touché(e), blessé(e) ou freiné(e) par quelqu’un ou quelque chose c’est que j’ai laissé mon autorisation et mon pouvoir à l’extérieur.
Or, pour me sentir en sécurité, dans l’amour, la joie et la lumière, je décide et je choisis de garder précieusement en éveil cette volonté et ce pouvoir. Ainsi, je m’autorise à être dans ma bulle, afin de me protéger et partager cette énergie. 

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Écouter, c’est donner de l’amour.

Savoir écouter, est nécessaire et utile pour une communication saine et fluide. Alors, pour pouvoir avoir une bonne écoute, il est impératif d’avoir la volonté d’accueillir les propos de notre interlocuteur sans juger, on appelle cela du respect.